Votre vie correspond-elle à ce que vous souhaitez ? (Joyce Meyer)
VOTRE VIE CORRESPOND-ELLE A
CE QUE VOUS SOUHAITEZ ?
"Si donc c'est le Fils (Jésus) qui vous donne la liberté, alors vous serez réellement libres." Jean 8.36
À une certaine époque de ma vie, je mettais tous mes malheurs sur le compte des autres. Rien n’était jamais de ma faute ou de ma responsabilité. J’étais convaincue que tous ceux que je côtoyais avaient pour mission de me rendre heureuse. Et si je ne l’étais pas, c’était toujours la faute d’autrui. J’avais donné à mon entourage le pouvoir de décider de la façon dont je me sentais. Je n’avais pas compris que j’avais le pouvoir de déterminer mon propre bonheur et que, si j’étais malheureuse, c’était dû en grande partie à mon égocentrisme. Je ne pensais qu’à MOI et j’attendais que tout le monde autour de moi accède à mes désirs.
Mon premier pas vers la liberté a consisté à accepter la responsabilité de la femme que j’étais, et à arrêter d’accuser les autres ou d’attendre d’eux qu’ils me rendent heureuse. J’ai aussi pris conscience que Jésus est venu pour me permettre de triompher des effets néfastes de mon passé. Et c’est essentiellement en nous apprenant à aimer et à être miséricordieux envers les autres qu’il nous rend libres.
C’est pourquoi mon pas suivant vers la liberté a été d’apprendre à voir les besoins d’autrui au lieu de me focaliser sur les miens. J’ai cherché des occasions de servir mon prochain sans me demander si mon travail serait reconnu. J’ai commencé à encourager, aider, servir et soutenir ceux qui m’entouraient.
Quand j’ai enfin pu me détourner de mes besoins personnels pour m’occuper de ceux des autres, il s’est passé une chose extraordinaire : j’ai de moins en moins accusé autrui et appris peu à peu à voir mes propres responsabilités. J’ai pu alors aborder les changements nécessaires pour être libérée de l’esclavage de mon passé.
Qu’en est-il de vous ? Votre vie correspond-elle à ce que vous souhaitez ? Êtes-vous prisonnier de comportements que vous n’aimez pas ? Je sais qu’il est facile de mettre votre situation sur le compte de circonstances extérieures et de penser Si seulement je gagnais plus d’argent ou Si j’avais un meilleur travail, Si j’étais marié, Si j’étais célibataire, Si je n’avais pas d’enfants. Si, si, si ! Mais ce ne sont là que des excuses. Jésus a pourvu à tout ce dont vous avez besoin pour marcher dans la liberté.
Une action pour aujourd’hui :
Ne vous complaisez pas dans le rôle de la victime. Arrêtez de regarder d’abord à vous-même. Cherchez des occasions de servir et d’encourager les autres.
Joyce Meyer
(Source : TopChrétien)
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